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Affaire Seznec Investigation

Le blog de Liliane Langellier. Premier blog sur l'affaire Seznec. Plus de 1.100 articles.

Affaire Seznec. Paris Presse L'Intransigeant mai 1950. La publication de "Notre bagne" de Jeanne Seznec.

« Le principal caractère des gens, c’est qu’ils sont prêts à croire n’importe quoi. »
Umberto Eco.
Le Cimetière de Prague.

 

A partir du 12 avril 1950...

Et, ce, jusqu'au 7 mai 1950...

Le ver est dans le fruit...

Paris-presse l'intransigeant publie - à grand renfort de publicité - les délires de Jeanne Seznec dans "Notre bagne".

Grâce à Cécile Denoël et à Claude Sylvane.

 

Bernez Rouz, écrit en page 10 de son ouvrage "L'affaire Quéméneur Seznec" :

"L'ouvrage sort en feuilleton dans Paris-Presse, la parution du livre est fort bien orchestrée par l'éditeur qui fait venir à Paris Jeanne et son père. Claude Sylvane, Jeanne et Guillaume Seznec entament un tour de France marqué par soixan+te-dix conférences, qui constitueront, après la croisade du juge Hervé dans les années 1930, un des moments les plus forts de la campagne de réhabilitation.

Ce livre ne contient pas de révélations nouvelles sur l'affaire elle-même. L'écrivain reste une seule soirée en compagnie des Seznec ; c'est un peu court pour une "collaboration" véritable et une mise en confiance de gens particulièrement éprouvés par la vie. Jeanne avait 11 ans au moment des faits et ne peut guère apporter d'éléments nouveaux, sinon sur le calvaire qu'elle a subi depuis son mariage avec François Le Her. Le truc littéraire est de raconter l'affaire Seznec à la première personne et ça marche. Le livre est un best-seller. Jeanne et Guillaume Seznec pourtant dans une misère noire ne toucheront pas un sou."

.....................................................

Oui...

Je suis obligée d'en reparler...

Parce qu'une certaine blogueuse tient tous les mensonges écrits dans ce livre pour vrais.

Vous comprenez mieux pourquoi il est si difficile de faire suivre une cure de désintoxication aux "aficionados" de l'innocence de Seznec.

Cinq ans et demi après ma publication des dires de Jean-Yves Seznec sur mon blog (mars 2018)...

Madame Jourdan les publie triomphalement sur son blog !!!

Cette pauvre fille aura toujours un train (deux trains ?) de retard...

Une bonne fois pour toutes…

Seznec n'a pas pu être de retour à Morlaix le dimanche 27 mai après-midi, c'est impossible !

« Toutes les archives du monde ne peuvent rien contre la sincérité des fils. »😂😂😂

Cette sotte écrit ça uniquement pour se faire bien voir des petits-fils.

Et pour décrédibiliser le Registre Matricule de Petit-Guillaume que je viens de publier.

Ils n'ont pas de pot, les petits-fils : après la nullasse Anne-Sophie Martin, la super nullasse Claudine Jourdan.

Mais, il paraît que...

D'après le proverbe...

« On a les amis qu'on mérite ! »

Quant à Jean-Yves Seznec....

Il n’est pas fiable…

Il a chialoté auprès de moi, puis auprès d'Anne-Sophie Martin, puis auprès de Vilain..

Et enfin....

Auprès de Claudine Jourdan.

Il n'y a pas de quoi se vanter d'arriver la bonne dernière !!!!

Gabriel, lui, a plus de retenue.

Tant que Jean-Yves Seznec ne m'aura pas fait parvenir les photos de Petit Guillaume soi-disant en Allemagne..

(Vous m'excuserez de ne pas croire les paroles de Petit Guillaume Seznec, qui raconte tout et n'importe quoi...)

Mon descriptif du Registre Matricule restera comme tel.

Tant pis pour eux !!!

Avec les Seznec, je suis comme Saint Thomas...

Je ne crois que ce que je vois.

Car, comme dit Umberto Eco dans "Le Cimetière de Prague" :

« Le principal caractère des gens, c’est qu’ils sont prêts à croire n’importe quoi. »

 


Liliane Langellier

 

P.S. Mail de Gabriel Seznec ce jour :

« Mon père n’a jamais essayé de réhabiliter son père, ne s’est jamais vanté de quoi de quoi de  ce soit !

Les seuls dires qui sont rapportés de lui, ce sont ceux que nous avons divulgué car Langlois, à notre insu, avait connaissance d’une partie de l’histoire.

Une chose est certaine c’est que mon père en avait par-dessus la tête de cette histoire ! Il n’a jamais menti à aucun média ni parlé à d’autres personnes que nous et Bernard de tout ça, suite à tout ce remue-ménage que Denis faisait. 

Il n’a jamais pensé qu'on le ferait parler après sa mort de tout ça. 

Si Langlois n’avait pas divulgué une discussion enregistrée sans ou avec l’accord de mon père à Bernard dans un seul but, de faire comprendre à Denis que certes le grand père était innocent, mais que ce n’était pas si clair que ça et qu’il fallait en rester là ! »

Je sais depuis 2015 que Gabriel n'a pas du tout apprécié les révélations de Denis Langlois.

Il faut dire que cela a semé une belle pagaille avec les trois nuls (Martin/Jourdan/Vilain) qui les ont repris texto.

Et, là, notre avocat, pour se venger de Denis Seznec, n'a pas été une colombe de la paix...

Loin s’en faut !!!

 

P.S.2  100e chantage affectif de la psy..

Qui arrête (encore) son blog à cause de moi...

Comme elle souffre de diarrhée verbale..

Je ne lui donne pas 8 jours pour remonter en selle !!!

 

 

P.S. 3 Le nobliau maudit continue de perdre la tête et de nous raconter n'importe quoi.

Il n'aura jamais l'exactitude d’un Thierry Lefebvre (respecter l'orthographe de son nom, merci..)

Bien sûr que Thierry nous avait signalé le second mariage du Gautier (voir ci-dessus)

Quant aux rapprochements douteux des adresses des uns et des autres...

Les annonces du 80 rue de Rivoli, ce n'est pas le 118 !!!

Si on continue son raisonnement stupide : Aymard Vacquié habitait au 79 avenue de Wagram et Sée au 85 bis.

Et en 1923, Gautier avait son bureau rue Vivienne mais il habitait au Parc Saint-Maur, 23 avenue de l'Étoile.

 

Les Gautier-Berthet avaient deux fils. Tous les deux nés au 80 rue de Rivoli en 1906 et 1910, l'aîné avocat lors de son mariage en 1932, le cadet journaliste lors de son mariage en 1942...

Mais tout ça, bien qu'intéressant, n'apporte rien à l'affaire.

En parlant de Koenig, il aurait pu préciser qu'il vivait en 1926 avec la seconde femme d'un parent de la femme de Besseyre des Horts... mais il n'est peut-être pas au courant.

Monsieur Loic de La Goublaye de Nantois (il en ferait une comédie si j'orthographiais mal son nom !!!) a encore perdu là une belle occasion de se taire.
 

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