Affaire Seznec. "Le Perroquet-Vert"de Saint Brieuc. Hôtel de mauvaise fréquentation (?)

LE ROI, dans le cabaret, chantant.
Souvent femme varie,
Bien fol est qui s'y fie !
Une femme souvent
N'est qu’une plume au vent !
Victor Hugo, Le Roi s'amuse, IV, 2, 1832

Mais si...

Je sais que Madame Claudine Jourdan a appelé l'un de ses trois blogs : « Le Perroquet-Vert ».

Du nom de cet hôtel que Guillaume Seznec aurait (très conditionnel) reconnu à Saint Brieuc pour y avoir passé la nuit du 12 au 13 juin 1923.

C'est la thèse des branques : Charles Victor Hervé et Claude Bal en tête.

Heureusement que le rapport Camard a remis un peu d'ordre dans tout ça.

Mais si..

Je vous le dis..

Notre brillante Jourdan a trois blogs.

- L'un est enregistré sous « belair », c'est « Affaire Seznec Discussion ».

- Le deuxième, « le Perroquet vert », est en fait « Une autre histoire ».

- Le troisième, sous WordPress s'appelle aussi « Une autre histoire mais Pour l'amour de Marie Jeanne ».

Elle publie des articles de l'un à l'autre sans ordre réel.

Elle geingeinte qu'à cause de moi, elle arrête d'écrire sur l'un...

Et, le lendemain on la retrouve sur l'autre.

Tout cela dénote un grand désordre, très grand désordre intellectuel et mental.

Et c'est un vrai foutoir.

Mais, revenons à notre Perroquet-Vert.....

Extrait de "Justice pour Seznec" Charles Victor Hervé 1933

C'est dans Qui ? du 20 juillet 1948.

Le juge Hervé a la brillante idée d'emmener Guillaume Seznec déambuler dans Saint Brieuc où il aurait passé la nuit du 13 juin 1923...

"Il a fallu attendre vingt-cinq ans : il a fallu attendre le retour de Cayenne pour que Seznec fasse, à travers les rues de Saint-Brieuc, cette promenade que la police lui avait alors refusée. Il a fallu que ce soit lui même, en son obstination farouche de prouver son innocence qui rechercha l'hôtel.

C'est en compagnie de M. le juge d'instruction Hervé qu'il l'a fait. Pèlerinage plein d'anxiété, tant de choses peuvent changer en vingt cinq années.

Tout à coup, l'homme s'est arrêté et s'est écrié : "C'est là !" L'hôtel s'appelle "Le perroquet vert", il se situe dans la rue des Bouchers. En face se trouve un mur gris, celui de la chapelle d'un couvent.

Arrivé à Saint Brieuc le 12 juin au soir, Seznec y est encore le  13 au matin."

Qui ? 20 juillet 1948 - (20-jul-1948)

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https://www.retronews.fr/journal/qui/20-jul-1948/2533/3448155/6

in Claude Bal.

"De même les recherches faites dans les hôtels de St-Brieuc demeurèrent infructueuses (supplément d'information cote 47). A ce sujet, il n'appartenait pas à la Police de décider d'un transport en compagnie de SEZNEC, afin de lui faire connaître l'hôtel où il prétendait avoir passé la nuit du 12 au 13 juin.

in rapport Camard.

Alors…

"Le Perroquet-Vert". Hôtel de mauvaise fréquentation (?)

En 1923...

C'est Alphonse Marie Thomas le propriétaire.

Que savons-nous de lui ?

Généalogie de Alphonse Marie THOMAS

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https://gw.geneanet.org/tlefebvre?lang=fr&n=thomas&oc=0&p=alphonse+marie

Thierry Lefebvre...

On lui a volé du linge...

Son hôtel était mal fréquenté...

L'abbé Trochu y a tenu une conférence en 1925 - Ouest-Éclair 17 mars 1925.

Saint-Brieuc 1931

Je n'ai lu nulle part qu'Alphonse Marie Thomas avait été interrogé par l'équipe de Vidal ce foutu été 1923...

La police n'a-t-elle pas enquêté à Saint-Brieuc car le juge d'instruction ne leur a pas demandé, occupé qu'il était à vérifier tous les alibis de Seznec pour le 13 juin 1923 ?

Entre Saint-Brieuc chez Bienvenue, Métais à Brest, Saint-Pierre-Quilbignon,etc...

Liliane Langellier