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Affaire Seznec Investigation

Le blog de Liliane Langellier. Premier blog sur l'affaire Seznec. Plus de 1.100 articles.

Affaire Seznec. Les chaussettes sales (ou pas) de Pierre Quémeneur....

Jalousie, tu viens ramper autour de moi comme un serpent perfide et froid
Jalousie, tu rives dans ta chaîne mon cœur glacé d'effroi
Jalousie, tu viens salir de ton venin la blanche trame du destin
Jalousie, tu fais jaillir la haine dans l'ombre du chemin
Armand Mestral

Parce que Claudine Jourdan découvre (il était temps, 4 ans après l'ouverture de son blog) enfin Claude Bal...

Voilà que cette gourde se met à gober tout ce qu'il a écrit !!!

Claude Bal peut bien écrire ce qu'il veut, les témoignages de Jeangirard, du Plat d'Etain et des cheminots de Houdan concordent entre eux ainsi que celui du garagiste Hodey qui dit les avoir vu repartir à 20 heures le vendredi 25 mai 1923.

Toujours garder à l'esprit que le livre de Claude Bal était un plaidoyer pour l’innocence de Seznec, plaidoyer bourré d'inexactitudes.
.
Comme les pages 137/138 le prouvent :

« Voici enfin une preuve matérielle de la survivance de Quémeneur. 

Avant que son frère ne quitte Landerneau, dans l'après-midi du 24 mai,  Melle Jeannie Quémeneur avait placé, dans la valise de Pierre, une chemise et deux paires de chaussettes. 

Or dans la valise abandonnée au Havre, on trouve deux paires de chaussettes sales et une chemise également sale.

Pierre Quémeneur est arrivé à Rennes le 24 en fin de journée. Il a couché à l'hôtel et pris la route le lendemain 25, avec son ami Seznec qui, selon l'accusation, l'aurait tué dans la soirée. 

Ainsi, Quemeneur, qui n'a qu'une chemise de rechange, l'a donc revêtue pour faire le long voyage en automobile, au cours duquel il ne manquera pas de la salir. Il faut donc admettre que le conseiller général s'est dit, en s'habillant,  le matin du 25 : " J'irai voir Charley (à qui pourtant il veut inspirer confiance) avec une chemise portée durant une journée de voyage. "

Mais il y a mieux : puisque Pierre Quéméneur est mort dans la soirée du 25 mai, il lui a fallu, d'après l'accusation, changer de chaussettes le matin du même jour et en changer de nouveau en cours de route.

C'est absurde. La raison, le bon sens, nous invitent à supposer que Quemeneur a changé de linge à Paris, le matin du 26, avant de se rendre avenue du Maine, au rendez-vous fixé par Charley. »

Le Matin 26 juin 1923

Quant à l'histoire des chaussettes sales de Pierre Quémeneur qui sont la preuve irréfutable qu'il était bien vivant le 26 mai...

C'est à pisser (je reste dans le mood) de rire...

Inventaire in Guy Penaud en page 114 :

"-  une chemise, trois cols, une cravate, une serviette de toilette, quatre mouchoirs, deux paires de chaussettes, une brosse à habit et une serviette de cuir."

Denis Seznec en rajoute une couche en pages 112/ 113 :

« La valise est posée là, sur un bureau dans une petite pièce de la Sûreté, 11, rue des Saussaies. [...]

Jenny ne peut en détacher les yeux. [...]

L'un des policiers ouvre la valise. Il en sort des objets, qu'il lui présente un à un : une chemise blanche ornée des initiales Q.P., trois cols espèces de toile blanche, une serviette de toilette, une cravate...

- Oui, oui, c'est bien à Pierre.

Machinalement, elle remarque que la chemise paraît avoir été portée.

- Quatre mouchoirs, un de couleur et trois blancs, deux paires de chaussettes, une brosse à habits, une boîte en carton renfermant un peigne et une brosse à dents...

Les deux paires de chaussettes aussi, une noire et une grise, semblent avoir été portées. »

[NDLR Toujours garder à l'esprit que Denis Seznec reprend stricto sensu les thèses du juge Hervé et de Claude Bal.]

Jean-Yves Seznec chez Claudine Jourdan :

 

Je me demande bien où Jean-Yves Seznec (qui ne connaît pas grand chose à l'histoire de son grand-père et qui n'a pas lClaude Bal) a pu trouver que les chaussettes du conseiller général étaient sales (?)

Ou est-ce uniquement dans l'esprit embrumé de Claudine Jourdan ?

Une chaussette sale comme fait nouveau pour la révision ?

Les magistrats vont être écroulés de rire !

Le Matin 26 juin 1923

"Il trouva du linge sale…"

Il est où le scoop ?

Linge sale ne veut pas dire linge porté.

La serrure de la valise était brisée, donc elle a été ouverte... par qui ?

Qui a fait quoi avec son contenu ?

La valise a été retrouvée quasiment un mois après la disparition de Pierre Quémeneur...

Qu'est-ce qui prouve que c'est lui qui a sali les chaussettes et la chemise ?

La Liberté 18 août 1923

Alors, c'est donc ça le nouveau scoop de Jean-Yves Seznec : les chaussettes sales (ou pas) du conseiller général !!!

Bullshit !!!

Une bonne fois pour toutes le gars Jean-Yves pourrait-il envisager que son bien-aimé père Petit Guillaume a pipeauté sur toute la ligne.

Un éclair de lucidité est à envisager d'urgence.

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Rappel : Petit Guillaume n'a laissé aucun écrit sur l'affaire de son père.

Il ne saurait donc s'agir d'un témoignage.

Car Petit Guillaume ne témoigne pas au sens juridique du terme, c'est à dire que ses énoncés qu'ils soient véridiques, erronés, voire mensongers, ne s'adressent ni à un policier, ni à un juge d'instruction, ni à une juridiction de jugement (cf Alain Delame, 18 février 2020).

.................................................

Denis Seznec en page 419 :

« En décembre 1956, le ministère de la Justice informe le parquet de Rennes que la demande en révision de Claude Bal est rejetée. »

Circulez….

 

Liliane Langellier

 

P.S. Madame Jourdan, vous dépassez ici les bornes !

Ce que j'ai obtenu dans ma carrière je le dois à mon travail et à ma pugnacité.

Pas à mes fesses si jolies fussent-elles !

Comme le disait si bien Forestier : "Lili, elle a les cuisses propres".

Oui, c'est vrai, j'ai été très très courtisée..

Pauvre de vous, vous ne savez sans doute pas ce que cela veut dire !!!

Mais je n'ai jamais cédé.

J'ai pu ainsi me regarder dans la glace chaque matin et obtenir le respect de mes confrères.

Mais comme disait ma petite mère :  « Il n'y a que la boue qui salit le bas de la robe !!! »

Pour votre gouverne...

« L'étage noble » de L'Express, ce n'était pas le premier mais le deuxième étage (et oui...)

 

 

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C
Je vous affirme que je suis certaine que le PV de la saisie de la valise du 25 juin 1923 mentionne bel et bien que chemise et chaussettes de Pierre Quéméneur semblaient bien avoir été portées. J'en ai eu la confirmation ce matin.
Répondre
L
« NB. Lorsque Liliane Langellier éructe, ricane, raille, insulte, déforme vos propos c'est qu'elle est en difficulté ! »<br /> Et ça continue gaiement.<br /> Je suis ravie car le masque tombe et tout le monde peut lire qui vous êtes vraiment.<br /> Une Sainte-Nitouche de Prisunic !
L
P.S. Je ne vois pas comment la présence de chaussettes sales dans la valise du conseiller général va sauver l'affaire Seznec.<br /> Quémeneur peut s'être sali pendant le parcours et avoir changé de linge.<br /> D’autre part, la valise a été retrouvée quasiment un mois après la disparition de Pierre Quémeneur, qu'est-ce qui prouve que c'est lui qui a sali les chaussettes et la chemise ?<br /> Avec cette histoire de "linge sale", on touche le fond !
L
Après m'avoir traitée de pute dans votre dernier article de blog, vous osez venir commenter ici...<br /> Vous osez aussi vous plaindre à Overblog parce que j'ai osé écrire que vous aviez l'esprit embrumé.<br /> Je persiste et signe.<br /> Votre blog est un véritable boxon sans aucun intérêt pour l'affaire Seznec.<br /> Sans rien vérifier, vous écrivez tout et n'importe quoi dans un style et une mise en page insupportables.<br /> Ah oui, Jean-Yves Seznec vous a parlé...<br /> Il n'y a pas de quoi vous glorifier car les dires de Jean-Yves Seznec sont nuls et non avenus.<br /> Il n'y a plus qu'une cruche comme vous pour le croire désormais.