Affaire Seznec. Mensonge. Francis Gherdi n’a pas fait fortune pendant la WW2…

“Si ton voisin se salit, tu ne peux pas te frotter à lui sans nécessairement te salir, quelque propre que tu sois toi-même.”
Epictète / Manuel

La folie Gherdi chez Catherine Clausse :

Preuves ci-dessous que Francis Boudjema Gherdi n'a pas acheté son manoir avec l'argent de la Seconde guerre mondiale.

Il y habitait déjà en décembre 1942.

Exit les théories bancales de Claude Bal, Denis Seznec, Catherine Clausse...

Et les autres...

En 1932 son magasin était encore rue Brochant...

En 1936 il était rue Émile Level, au moins jusqu'en 1944.

L’Auto du 2 mars 1944

A partir de décembre 1942, il habitait Épinay-sur-Seine.

Et son magasin était rue Émile Level.

Il y était en 1947 puisqu'il s'y remarie, légitime un enfant de sa nouvelle épouse né en 1921 et a un fils avec elle 6 jours (?) avant leur mariage.

Naissance du fils de la 2è épouse de Gherdi, qu'ils ont légitimé lors de leur mariage.

Oui....

Ce n'est que ça l'affaire Seznec...

Des gens propres qui se font salir par des gens sales.

Totalement raccord avec la lettre des descendants Quémeneur :

« Le seul élément un tant soit peu sérieux avancé par la requête en révision est donc le témoignage de Mme Noll qui a reconnu en Boudjema Gherdi le dénonciateur de son réseau de résistance.

Mais si ce témoignage, cette fois circonstancié et susceptible de recoupements, est digne d'intérêt, peut-on sérieusement en tirer un doute sur la culpabilité de G. Seznec telle qu'elle a été retenue par les jurés de la cour d'assises du Finistère ?

En effet, en admettant même qu'il permette d'établir que Gherdi à servi la Gestapo durant l'Occupation, rappelons que la thèse selon laquelle Pierre Quémeneur l'aurait eu comme contact à Paris ne résulte que des déclarations de Seznec alors d'ailleurs que, contrairement à ce que tentent de faire croire les partisans de ce dernier, il n'a jamais été établi que Quémeneur avait eu l'initiative du voyage en Cadillac à Paris. Gherdi a d'ailleurs toujours nié avoir eu affaire à ce dernier et s'il avait été mêlé de près ou de loin à sa disparition il n'aurait pas, lorsqu'il a été interrogé en 1926, spontanément déclaré l'avoir rencontré à une seule reprise en 1922 ou au début de 1923 sur le Champ de Mars.

En outre, on ne peut déduire du seul témoignage de Mme Noll que Gherdi, à supposer de nouveau qu'il s'agisse bien de lui, ait fréquenté Bonny du seul fait que celui-ci sévissait rue Lauriston. Et, en l'admettant même cette circonstance autoriserait-elle à supposer qu'ils étaient de mèche 20 ans plus tôt dans une affaire de droit commun ? Le témoignage de Léon .Sacré, dont il conviendrait de s'interroger sur la crédibilité, ne le permet nullement dès lors que le "François" qu'il mentionné a toujours été considéré comme se rapportant à François Le Her. D'ailleurs, c'est avoir pris connaissance de l'homicide de ce dernier par son épouse Jeanne Seznec, que le témoin s'est manifesté. Et si on doit prendre en compte son récit, il faut alors le faire jusqu'au bout et notamment en ce qu'il fait état de l'aveu par Seznec de ce que celui-ci aurait été le complice de Le Her dans le meurtre de Quémeneur ! »

Je lis dans le marigot des mauvais blogs...

Que Francis Gherdi n'avait pas été interrogé par la police en 1923 (?)

Faut-il rappeler encore ici que ce n’est qu'en août 1926 que Seznec s'est brusquement souvenu de son existence....