Affaire Seznec. Les faux témoignages suscités par le juge Hervé. Bolloch en tête...

"à l’extérieur, pour les gens, vous avez l’apparence d’hommes justes, mais à l’intérieur vous êtes pleins d’hypocrisie et de mal." Mt 23

"De son côté, un ancien juge Charles-Victor Hervé soutient que Quémeneur a été tué par son frère Louis, dans sa propriété de Plourivo, celle qui, selon Seznec, a fait l’objet d’une promesse de vente. Hervé multiplie les articles dans la presse et organise des meetings dans toute la Bretagne. Il crée en 1932 une association "Pour Seznec innocent"."

Document Denis Langlois.

« Article 3. Le produit des cotisations et les ressources dont pourrait disposer l'association "Pour Seznec innocent" serviront exclusivement à faire reconnaître l'innocence de Seznec et assurer sa défense. »

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Les supposés témoins de survie ont été soit payés par la famille Seznec (Le Her en tête), soit victimes de leur mauvaise mémoire.

Système de paiement des supposés témoins repris par Hervé, Bosser et la LDH ensuite (Bolloch et Pansel notamment).

Michel Pierre est tout à fait d’accord avec moi sur ce point.

« Tout part d’un ancien juge d’instruction sujet à des troubles mentaux, d’une institutrice de Riec-sur-Belon (Finistère), représentante locale de la Ligue des Droits de l’homme et d’un hebdomadaire de Rennes, La Province, s’affichant « antisémite et antimaçonnique » et pour qui tout événement suspect sert à attaquer les autorités. Cet attelage hétéroclite parvient à mobiliser des auditoires considérables au point de fabriquer une « affaire Dreyfus à la bretonne », alors même que les premières demandes en révision basées sur des hypothèses farfelues ne donnent aucun résultat. »

Et il suffit d'écouter les émissions de Pierre Bellemare sur Europe 1 pour comprendre le stratagème..

Pour le fric, Denis Seznec a fait la même chose avec les cotisations de France Justice.

Demande de fonds in le livre du juge Hervé

« Afin de faire éclater la vérité aux yeux de tous, de grosses dépenses devront être engagées. »

Bolloch, hôtelier et conseiller municipal, a attendu 1948 pour apporter son histoire À part lui, personne pour témoigner puisque sa femme est morte en 1943... Pratique !

Concernant Bolloch, que foutait Pierre Quémeneur chez ses futurs beaux-parents et comment est-il arrivé à Guingamp ?

Cette malheureuse Jourdan nous mélange tout, je ne vois pas du tout le rapport entre Loth-Valoris et Bolloch (?)

Bolloch... Qui avait l’air d’un bon poivrot… Son obsession…

Vous voulez rigoler ?

Lisez donc ci-dessous...  

Et gardez bien à l'esprit que ce couard de Bolloch a attendu d'être veuf pour témoigner :

« Oui,  en ce moment Bolloch est mon obsession. 

Son témoignage est CRIANT .

En 1923 il était jeune fiancé, amoureux, il se promenait avec sa belle pour la première fois seul avec elle et malgré tout il rend ce service à un mystérieux voyageur. Il a donné son témoignage au juge Hervé en 1936 et à Détective en 1948.

Qui Francis Bolloch et sa fiancée ont-ils transporté dans leur voiture de Guingamp à Traou-Nez en Plourivo le dimanche 27 mai 1923? »

Concernant Valoris, si cette quiche s'était donnée la peine de chercher, elle saurait que de Jaegher avait mis pas mal de billes dans une de ses "inventions" et qu'il le poursuivait en justice. Affaire suivie par monsieur Campion soit dit en passant.

« Il se sert de l'affaire Seznec comme arme de guerre contre la justice.. »

Quant à Hervé :

« Pendant sept années, tout le monde - en dehors de la famille Seznec - accepta ce verdict sans protester. Pendant sept années, Seznec demeura au bagne sans qu'il vînt à l'idée de personne de faire écho aux doléances et aux récriminations de la femme d'un condamné. Et puis, tout d'un coup, alors qu'il venait d'abandonner la magistrature avec quelque éclat, M. Victor Hervé est venu lancer sa légende de Seznec innocent.

« Il y a un fait nouveau, proclamait M. Hervé, le fait de Plourivo n'a pas été communiqué aux Assises de Quimper. La révision s'impose : Seznec est innocent ».

Le fait de Plourivo ! M. Victor Hervé le connaissait depuis sept ans, puisque c'est lui qui, en sa qualité de juge de paix à Pontrieux, avait recueilli avec le brigadier Muller les témoignages qui le constituaient.

Pendant sept années, M. Hervé n'indiqua jamais le fait de Plourivo... Il se tut ! Que n'a-t-il continué à observer ce silence.. »

Me Alizon, 5 octobre 1932. Tribunal civil de Rennes.

Circulez, y'a rien à voir !!!!!!

Liliane Langellier

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