Le blog de Liliane Langellier. Premier blog sur l'affaire Seznec. Plus de 1.400 articles.
1 Mars 2025
La vérité, je la dis toujours, c'est toute la vérité qui est impossible à dire.
Lacan
Chez Vilain, en toute simplicité : "Depuis plusieurs semaines, je consulte le dossier Seznec conservé aux archives du Finistère. J'ai accumulé des connaissances uniques et éminentes sur l'environnement de cette affaire en France, aux États-Unis et en Russie avec l'accès à des archives rares.
Ma lecture avancée du dossier me permet donc de faire rapidement le tri entre les éléments prouvés et les éléments qui relèvent de pures spéculations. Dans le terme spéculation, il ne s'agit pas de preuves circonstancielles mais réellement de faits imaginaires ajoutés au dossier notamment par le procureur Guillot dans son acte d'accusation. Le droit pénal ne peut se satisfaire de combler les absences d'une enquête judiciaire par l'ajout de faits controuvés."
Attention...
Toute masturbation excessive rend aveugle et sourd !!!
Comme l'écrit une personne de ma connaissance : "Ne vous en faîtes pas, les élucubrations de Bertrand Vilain ne mèneront à rien."
Toujours chez Vilain : "Aucune recherche n'a été entreprise par la police et la justice pour retrouver l'annonce. Il s'agit d'un fait nouveau inconnu des jurés du procès de 1924."
Éclaireur du Finistère 30 juin 1923
Monsieur Vilain...
Pensez-vous vraiment qu'une demande de révision va être lancée là-dessus ???
Par ailleurs...
Vous avez de la chance que, contrairement à vous, je haïsse la dénonciation.
En découpant les archives sans citer leur origine et leurs cotes, vous trahissez la confiance des archives de Quimper.
Vous êtes tenu à certaines règles que vous ne respectez pas... Pour rappel, les documents librement réutilisables sont les documents communiqués par les Archives, à l’exclusion de trois catégories :
- documents communiqués par dérogation,
- documents contenant des données personnelles, soumis à des conditions de réutilisation spécifiques encadrées par la CNIL
- documents soumis à des droits de propriété intellectuelle.
Madame Jourdan...
Tout le monde a bel et bien compris que vous n'avez aucune dérogation pour consulter les archives de Quimper mais que c'est votre pote Vilain qui vous les transmet.
Vous nous écrivez tout et n'importe quoi.
Aucune demande de révision n'est en cours.
Quant à m'accuser de raconter la vie privée de Thérèse Malet...
Nous n'avons pas la même définition de "vie privée".
Madame Jourdan...
Votre haine vous enivre.
Il vous faut accepter qu'il y ait des partisans de la culpabilité de Seznec...
Dont je fais partie, c'est vrai.
Cela ne justifie en rien vos injures à mon égard.
Pour les lecteurs...
Il suffit de comparer votre blog (mauvaise présentation des documents, commentaires ineptes) et le mien pour comprendre qui bosse ou pas.
A part dire Amen à tout ce que nous annonce Vilain...
A part nous seriner - sans aucunes preuves - que c'est Marie-Jeanne qui, pour défendre sa vertu, a occis Pierre Quémeneur...
Vous apportez quoi à l'affaire Seznec ???
#Jeposequestion
Vous et Vilain, vous êtes deux usurpateurs.
Et ceux qui vous suivent ne valent pas mieux.
Liliane Langellier
P.S. Chez Jourdan : Du roman, toujours du roman...
Mais...
Du mauvais roman...
"Pour ce qui est du témoignage de Pierre Dectot :
Il venait à bicyclette de Millemont et se dirigeait vers Gambais.
Il était ébloui par les phares de la voiture qui était devant lui.
Le temps qu'il arrive au niveau de la voiture il a vu la silhouette de l'automobiliste qui passait et repassait devant les phares.
Si cet automobiliste était Seznec, il n'était pas occupé à enterrer son copain,
Il était occupé à tourner autour du moteur pour réparer sa voiture.
Il était 23h.
L'accusation dit vraiment n'importe quoi !
Il faudra du temps pour étudier les horaires de chemin de fer.
Si Pierre Quéméneur n'était pas avec Guillaume Seznec, au km 54, entrain de réparer la voiture, à 23h, où était-il?
Personne ne me fera croire que Guillaume Seznec aurait eu le temps de tuer et enterrer son ami entre 22h 10 heure à la quelle Pierre Piau l' a entendu parler dans la voiture dans la cour de la gare de Houdan et 22h 45, heure à laquelle, Pierre Dectot, poussant sa bicyclette, commençait à voir la silhouette de Guillaume Seznec passant et repassant devant ses phares, occupé à réparer."
Entre 22 h 10 et 23 heures, Seznec a pu mettre un coup à Quémeneur qui s'est écroulé sur le bas-côté ou dans le fossé.
Seznec faisait les cent pas en réfléchissant à ce qu'il allait bien pouvoir faire.
Dectot parti, il a eu jusqu'à 5 heures du matin pour faire disparaitre le corps...
Quand elle arrive au bout de ses arguments pour défendre sa minable thèse, Jourdan nous raconte qu'elle a peu de temps à consacrer à l'affaire Seznec, car elle travaille encore...
Il faudra alors m'expliquer où elle trouve le temps pour être couchée sur mon blog 24 heures sur 24...