Le blog de Liliane Langellier. Premier blog sur l'affaire Seznec. Plus de 1.300 articles.
13 Février 2025
“Non seulement il y a beaucoup d'esprits bornés, mais même leurs bornes sont mal posées.”
Antoine de Rivarol
Il faut toujours dire et redire.
Plus le temps passe...
Plus les pro Seznec sont de mauvaise foi.
Car ils s'aperçoivent que leurs arguments ne tiennent pas la route.
Reprenons donc pour ces ânes bâtés.
La promesse de vente A...
C'est tout bête.
Elle est remise par Guillaume Seznec himself au commissaire Vidal lors de son audition comme témoin du 28 juin 1923.
Elle est mise sous scellés à Paris et est annexée le 3 juillet au pv de Seznec.
Il n'en est pas de même de la promesse B.
Qui a un parcours tout différent.
Elle se trouve effectivement dans la valise découverte en gare du Havre le 20 juin 1923.
Cette valise est placée sous scellés par la Sûreté le 25 juin 1923.
La valise et son contenu.
En effet, les objets contenus dans cette valise n'ont pas fait l'objet alors d'un scellé individuel.
On retrouve cette foutue promesse B le 31 octobre 1923 quand elle est donnée à Seznec pour paraphe.
Ont paraphé également Jezequel, le greffier et le juge d'instruction Émile Campion.
Si j'en crois les délires de notre psy nationale...
C'est donc entre le 25 juin et le 31 octobre 1923 que cette promesse B aurait été trafiquée.
Par qui ???
Comment ???
Pourquoi ???
Elle ne peut nous répondre.
Elle tronque donc le texte d'Annick Le Douget et rebondit avec la lettre de Ladam.
Ce brave garagiste qui avait reçu le 26 mai 1923 une lettre de Quémeneur pour demande de Cadillac.
Ne cherchez pas le rapport...
Il n'y en a pas.
Je rappelle ici que Guillaume Seznec n'a jamais contesté ni sa signature ni celle de Quémeneur sur les dites promesses de vente.
Ce délire a commencé avec les articles de La Province du juge Hervé.
Qui, hautement paranoïaque, voyait des complots partout.
Oui, je répète : hautement paranoïaque.
Lisez donc Debout Magistrats de France et vous comprendrez.
Oui, mais notre psy, elle, elle ne lit pas.
Pas plus le livre du juge Hervé que le livre d'Annick Le Douget. Elle, elle braille comme à la foire.
Et oui, elle préfère répondre rageusement dans l'instant.
Et se prendre un mur.
C'est son choix.
Liliane Langellier
P.S. Madame Jourdan...
L'arrêt de la Cour de Cassation date du 28 juin 1996.
Non de 1978.
Qui peut encore croire vos délires avec autant d'erreurs ???
P.S.3 "Ça ne veut pas dire que la police les a trafiqués, ça veut dire qu'on ne sait pas d'où ils sortent."
Bah ils sortent de la valise !!!!!
On se croirait chez Raymond Devos...
Ces documents ont été sortis de la valise devant Seznec, et il n'a pas été suspicieux ou étonné de les voir...
Et, pour nous prouver le tout...
La Jourdan nous sort la photo du portefeuille vide de Pierre Quémeneur.
Ne cherchez pas..
Elle non plus ne sait pas ce qu'elle dit !!!
Ah si...
C'est Pouliquen, of course, qui a subtilisé la promesse de vente... On ne sait ni où ni quand...
Cette femme nuit à la compréhension de l'affaire Seznec et je supplie mes lecteurs d'en tenir compte, si par malheur, ils venaient à s'aventurer sur son blog.