Affaire Seznec. Pierre Raach le conducteur de la camionnette qui a renversé Guillaume Seznec...

“L’esprit de l’homme n’a point de bornes en ses aberrations.”
Théophile Gautier / Les grotesques

(Le Figaro)

Le Berry Républicain

Malgré la bonne foi de Raach, Seznec porte plainte...

Guillaume Seznec est renversé à un passage clouté au coin de l'Avenue des Gobelins et du boulevard Saint Marcel le 14 novembre 1953....

Immédiatement la famille hurle au complot national, D.G.S.I. voire international, C.I.A., F.B.I., K.G.B., etc..

Le conducteur a en effet pris la fuite, il est donc commandité...

Sauf que Pierre Raach se rend de lui-même.

Dommage !

Pas d'argent à se faire sur ce coup-là.

Liliane Langellier et Thierry Lefebvre.

P.S. Madame Jourdan se vante sur son blog d'être tenace.

Elle n'est pas tenace, elle est bornée, nuance.

La ténacité est une qualité, l'entêtement un vilain défaut.

Pour les preuves de l'innocence d'Alphonse Kerné....

D'après Mme Jourdan, "Le certificat médical du 16 juin ne prouve rien.". Si, ça prouve quelque chose... et la visite de Francastel le 18, ça ne prouve rien non plus ? Le docteur Ducasse aurait donc délivré une ordonnance de complaisance ? Cette manie de salir la réputation des gens honorables pour innocenter Seznec ! C'était une ordonnance délivrée suite à une crise hépatique, et le commissaire Cunat qui l'examina nota dans son procès-verbal qu'elle ne semblait avoir subi aucune altération.

C'est uniquement à cause de ce taré de de Jaegher que Kerné a été soupçonné... soupçons qui se sont révélés sans fondements !

Persister sur une fausse piste, c'est tout sauf de la ténacité.

Elle est bien dans la droite ligne de la famille Seznec : accuser sans preuves les autres, tous les autres, pour sauver leur bagnard.