Le blog de Liliane Langellier. Premier blog sur l'affaire Seznec. Plus de 1.400 articles.
6 Mai 2018
L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt
Expression rendue populaire par Willy le mari de Colette
Je trouve cela à l'instant même, dimanche 6 mai 2018, 7 h 30 sur Le Télégramme :
sous le titre "Affaire Seznec. La fin d'un secret
Ce pourrait être l’épilogue d’une des plus retentissantes énigmes criminelles françaises. Des petits-enfants de Guillaume Seznec ont décidé de briser le silence, et de rendre public, dans Le Télégramme et sur France 2, le lourd secret qui pèse sur leur famille depuis près d’un siècle. Notre dossier spécial sera mis en ligne sur notre site web ce dimanche à 19 h."
France 2 aurait donc passé un deal de partenariat avec Le Télégramme pour partager leur exclusivité ?
#jedemande
Parce que c'est très très rare un media qui partage une exclu.
Sinon, ce n'est plus une exclu, hein ?
Ou Le Télégramme veut-il rentrer dans l'argent qu'il a perdu lors des fouilles ratées du 24 Février dernier ?
Sur Twitter, Samuel Petit, le rédacteur-en-chef du Télégramme reprend l'info :
Ce soir sur @LeTelegramme et France 2 le témoignage exclusif de petits enfants de Guillaume #Seznec
Si les petits-fils ont parlé aussi à ce journal, ça signifie donc que ce n'est plus une exclusivité France 2.
Mais un partenariat entre la chaîne télé et le quotidien régional.
1/ J'ai posé question :
Bonjour Monsieur Petit ! Je pensais que les petits-fis #Seznec avaient réservé leurs confidences en exclu à @France2 @19hLD ce soir et à @13h15 dimanche prochain ? C'est donc un partenariat @LeTelegramme / @France2tv ?
En plus, il n'a pas spécifié l'heure du scoop alors tout le monde vient me la demander...
J'attends patiemment sa réponse.
2/ Je le relance à 8 h 15 :
Monsieur Petit... Je repose la question : Sur les révélations des petits-fils #Seznec est-ce un partenariat @France2tv / @LeTelegramme ? Où avez vous juste prévu qu'un journaliste retranscrira l'émission en direct comme moi ?
Sur Twitter, Samuel Petit vient me parler en DM (Direct Mail ou Message Privé) :
Co-exclu. Nous ne qualifierions pas d'exclusif une simple retranscription d'un reportage tv
Ma réponse :
Pourquoi France 2 n'annoncent-ils pas cette "co-exclu" ?
Samuel Petit :
Je l'ignore
Liliane Langellier :
Pas de soucis, je joins la journaliste de France 2 en charge Anne-Sophie Martin...
Samuel Petit :
A quel titre?
Liliane Langellier :
Faut-il un titre pour parler à Anne-Sophie Martin de France 2 ?
(ndlr cela commence à sentir le roussi)
A ce stade de l'échange, deux possibilités s'offrent à nous :
- Soit France 2 a effectivement passé un accord de partenariat avec Le Télégramme.
Mais pourquoi pas avec Ouest-France qui est beaucoup plus lu ?
Pour preuve, leur ACPM 2017 (Alliance pour les Chiffres de la Presse et des Médias) :
Ouest-France = 671.228 lecteurs
Le Télégramme = 192.206 lecteurs
- Soit Le Télégramme nous joue du pipeau pour s'attribuer au passage quelques miettes du scoop.
(ndlr N'oubliez pas que Bertrand Vilain est très très pote avec Hervé Chambonnière, le journaliste du Télégramme, qui a brillamment "couvert" pour Twitter les fouilles en direct de Morlaix le 24 février dernier.)
Encore un teasing de plus !
(Non, non,Monsieur Maillot, "teasing" n'est pas un gros mot !)
Mais une information qu'on balance avant le scoop pour faire saliver les lecteurs.
Cela vient de to tease = taquiner.
C'est un spécialiste Hervé Chambonnière.
Remarque, pour l'instant, de son côté, Vilain, il copie en retard les infos sur mon blog.
Et les publie sur le sien avec 2 heures de décalage (au moins quand ce n'est pas une journée).
3/ Je continue sur Twitter (ndlr dans deux minutes Samuel Petit, pour s'en sortir, va me taxer de harcèlement, ce n'est pourtant que mon troisième tweet public) :
Je repose ma question à @samuelpetitbzh du @LeTelegramme Est-ce un partenariat @France2tv / @LeTelegramme pour l'émission de ce soir @19hLD consacrée aux révélations de Jean-Yves et Gabriel, les petits-fils #Seznec ? Où avez-vous prévu une simple retranscription de l'émission ?
A ce stade, tout le monde a bien compris qu'il n'y a pas plus d'exclusivité France 2/ Le Télégramme que de beurre en branche.
L'un de leur journaliste (sans doute Hervé Chambonnière qui connait bien l'affaire) va retranscrire en direct l'émission de Laurent Delahousse.
Ce que je ferai également, mais en léger différé.
Heureusement que je ne suis plus en exercice parce que Samuel Petit aurait tout fait pour tenter de flinguer ma carrière !
Encore que...
Oui, oui, je vous ai fait vivre "ça" en direct de...
Parce que c'est quelque chose la PQR (Presse Quotidienne Régionale) et la recherche du scoop...
Cela s'appelle "a slice of life" = une tranche de vie.
Bienvenue Jean-Yves et Gabriel dans l'univers impitoyable de la chasse aux scoops !
Quelqu'un a pensé à la réaction de Denis Seznec devant les révélations de ses cousins dans l'émission de France 2 ce soir ?
Eux qui n'ont jamais été médiatisés.
De deux choses l'une :
- Soit il est au courant et Anne-Sophie Martin lui a consacré une place honorable pour droit de réponse dans son émission,
- Soit il vient juste de l'apprendre...
Et là...
Alors là, ça va bouillir !
Le seul détail qui m'agace un peu les dents, c'est que je sais qu'Anne-Sophie Martin, la journaliste de France 2, chez Laurent Delahousse, lit attentivement mon blog.
Et, que, là, on peut dire que je lui ai vraiment mâché le travail...
Avec les 47 articles mis en ligne depuis les révélations des petits-fils du lundi 26 Mars dernier...
Pour faire coller la vérité des petit-fils avec la vérité de l'histoire Seznec.
Pas sûre qu'elle rende à César ce qui appartient à César.
N'oubliez pas que c'est une grande pote du Vilain.
Et que les journalistes sont des individualistes forcenés (ndlr je suis bien placée pour le savoir)..
Je sais aussi que, fort aimablement, les deux petits-fils ont cité mon blog dans leur interview...
Tous les deux.
Et à plusieurs reprises.
Ils ont bien spécifié que c'était grâce à moi qu'ils se médiatisaient sur France 2....
En expliquant (du moins pour Jean-Yves Seznec) comment il avait connu ce blog.
Oui, en gougueulisant le nom de sa maman "Claudie Neyret".
(ça je rappelle qu'il l'a dit à Anne Sophie Martin et certainement pas à Laurent Maillot...)
Pour Gabriel, je rappelle ici que nous sommes en contact depuis le printemps 2015.
Denis Langlois le sait, puisque, tout content, il avait repris l'info où je disais avoir été en contact avec Claudie Neyret en mai/juin 2015.
2 juin 2015. Article de Liliane Langellier sur son Blog Affaire Seznec Investigation .
(Entretien téléphonique avec Mme Claudie Seznec, veuve de Petit-Guillaume.)
Et me l'avait dit dans un mail de la même date :
Chère Liliane Langellier,
Merci pour l'excellent et émouvant papier que vous avez consacré aux derniers développements de l'Affaire et à mon livre. Bravo pour vos recherches. J'ignorais que Claudie Seznec était toujours vivante. J'ai été récemment en contact avec l'un de ses fils qui ne me l'a pas dit. Il est vrai que je n'ai pas pensé à le lui demander.
Le long entretien que vous avez eu avec Claudie confirme effectivement que la famille de Petit-Guillaume ne remet pas en cause l'existence et le contenu du témoignage du fils de Seznec. Ce n'est bien sûr pas la position de Denis Le Her-Seznec qui, dans l'une de ses rares réactions, a soutenu qu'il n'existait pas de "secret de famille" et que toute ladite famille était totalement unie (sous-entendu derrière lui et ses positions).
Avec toute mon amitié.
D.L.
Alors, oui...
Il faut rendre à César ce qui appartient à César.
J'ai été la première journaliste vers qui Jean-Yves et Gabriel Seznec se soient tournés pour faire les révélations de leur père Petit Guillaume...
Oui, je l'ai écrit sur ce blog avec leur accord.
Il faudrait que je sois vraiment berzingue pour avoir inventé tout ça.
Oui, ils ont accepté l'interview d'Anne-Sophie Martin très récemment (jeudi dernier).
Oui, je les avais motivés en ce sens...
Car, c'est vrai, qu'avec le rebondissement des fouilles, c'était le moment idéal.
Jean-Yves, lui, soutient que c'est la mort de leur maman qui les a libérés de ce lourd secret.
Et non les fouilles.
Donc...
A suivre...
Liliane Langellier
P.S. Comme je lis des mémoires qui défaillent...
Je vous rappelle que vous trouverez ici les révélations de Jean-Yves et de Gabriel :
L'affaire Seznec revisitée par Liliane Langellier
Et là...
Les différences entre la version de Denis Langlois et la mienne :
Les deux versions du témoignage de Petit Guillaume
Sur France 2 à 13 heures 16 (voir la vidéo dans les pièces jointes) :
L’affaire Seznec serait donc une agression sexuelle de Pierre Quémeneur sur Marie-Jeanne Seznec, suivie de la réaction de celle-ci en état de légitime défense. Gabriel et Jean-Yves Seznec, petits-fils de Guillaume Seznec, condamné à vingt ans de bagne pour le meurtre de ce conseiller général du Finistère en 1923, révèlent en exclusivité leur secret de famille au magazine "19h le dimanche" (Facebook, Twitter, #19hLD).
Ce secret est celui que Guy Seznec a transmis à ses fils au soir de sa vie : la vérité sur l’affaire Seznec ! "Maintenant, je me dis qu’il faut dire l’information que nous a donnée notre père, et ce sont plus que des informations, pour nous, pour les autres, pour la vraie vérité. J’ai envie que la vérité se sache…" affirme Jean-Yves Seznec. Leur père Guy Seznec leur a ainsi confié ce qu’il s’était passé ce jour-là : "Papa, m’avait dit : ’C’est une affaire toute simple qui a été compliquée à outrance.’ Je me souviens bien de ses mots."
Il y a des secrets de famille tellement lourds qu’ils deviennent des prisons… Gabriel poursuit le récit du père : "C’était un dimanche, d’après lui. Il jouait dehors dans la cour et il a entendu sa mère crier, se débattre. Elle se faisait agresser en gros. En allant à la fenêtre, il a vu Quémeneur par terre, allongé, recroquevillé. La bonne aussi était là. Et Quémeneur était mort."
"La grand-mère s’est défendue, elle a eu un geste de défense, raconte Jean-Yves. Notre père n’a pas vu tomber Quémeneur, mais il était par terre quand il a regardé par la fenêtre. Cela a duré quelques secondes entre le moment où sa mère a crié et celui où il a regardé à la fenêtre." Gabriel complète : "Sa mère lui a dit qu’elle avait levé la main parce que Quémeneur l’avait agressée un peu, enfin, tripotée… Et il ne s’est jamais relevé." Jean-Yves conclut cette révélation par ces mots : "Ils n’ont pas voulu sa mort, c’est un homicide involontaire finalement."
Article de Pierrick Baudais in Ouest-France
du 6 mai 2018, 15 h 51
Affaire Seznec. Pierre Quémeneur serait mort en chutant.
C’est la version que devraient relater, ce soir sur France 2, deux des petits-fils de Guillaume Seznec. Ce dernier avait été condamné, en 1924, au bagne à vie pour avoir tué Pierre Quéméneur, conseiller général du Finistère. Selon les deux petits-fils, l’élu aurait fait une mauvaise chute alors qu’il faisait des avances à la femme de Guillaume Seznec.
L’affaire Seznec approche-t-elle de son dénouement ou n’est-ce qu’un énième rebondissement ? Ce soir, à 19h sur France 2, deux des petits-fils de Guillaume Seznec, Jean-Yves et Gabriel Seznec, vont témoigner sur ce qu’ils savent à propos de la mort du conseiller général, Pierre Quéméneur, en mai 1923.
Cette vérité, ils la tiennent de leur père, « Petit Guillaume », l’un des enfants de Guillaume et Marie-Jeanne Seznec. « Petit-Guillaume » aurait été l’un des témoins de la mort accidentelle du conseiller général finistérien.
Mais avant les journalistes de France 2, une ancienne journaliste, passionnée par l’affaire à laquelle elle consacre un blog, Liliane Langellier avait déjà rencontré Jean-Yves et Gabriel Seznec, le 26 mars dernier, durant plusieurs heures. Elle avait résumé leur récit sur son blog. Voici donc leur version qui, elle aussi, innocente Guillaume Seznec du meurtre de Pierre Quéméneur.
Retour à Morlaix
Le 25 mai 1923, Guillaume Seznec, 45 ans, et Pierre Quemeneur, 46 ans, quittent Rennes en Cadillac pour Paris. Les deux hommes ont rendez-vous avec un certain Gherdi et souhaitent lui vendre la voiture. Et après cela, pourquoi pas, d’autres Cadillac que l’armée américaine avait laissées en France, à l’issue de la Grande Guerre, en 1918.
En chemin, la Cadillac tombe en panne à plusieurs reprises : à Dreux notamment, puis à Houdan. Les deux hommes, fatigués, ne semblent plus d’accord sur la manière de poursuivre leur périple. On ne les reverra plus ensemble.
Le 25 mai au soir, Quéméneur aurait pris un train pour Paris… Seznec, lui, aurait fait demi-tour et serait retourné à Morlaix pour faire réparer sa voiture.
Le 26 mai, Pierre Quéméneur est à Paris. Un dénommé François Le Her, Finistérien lui aussi et ayant déjà croisé le conseiller général, affirma (début 1924) avoir parlé en breton à l’élu, à Paris, ce jour-là. Mais les policiers et le juge d’instruction considéreront ce témoin peu crédible.
Il tombe sur l’accoudoir…
Le 27 mai, tôt le matin, Pierre Quéméneur arrive à Morlaix où les Seznec possèdent la maison de Traon-ar-Velin. Et où se rend l’élu « parce que Marie-Jeanne lui a tapé dans l’œil », écrit Liliane Langellier. Il se doute que Guillaume Seznec n’est pas encore rentré de la région parisienne.
« Marie-Jeanne, toujours accorte, l’accueille. Mais, quand il devient pressant, les choses se gâtent. Surprise, elle se débat. Elle crie… Lève la main… Décontenancé, Pierre recule… et rate la petite marche qui sépare les deux pièces. Il bascule. Et va s’éclater le crâne sur l’accoudoir du lourd fauteuil breton. Il est mort », poursuit Liliane Langellier, rapportant les propos de deux petits-fils.
C’est à cet instant que « Petit Guillaume » aurait passé la tête par la fenêtre et aurait vu le corps du conseiller général. La bonne, Angèle Labigou, était aussi présente sur place.
C’est donc une version un peu différente de celle présentée depuis quelques années par Denis Langlois, l’ancien avocat de la famille Seznec : selon celui-ci, Marie-Jeanne se serait défendue des avances de Pierre Quéméneur en le frappant avec un objet lourd tel qu’un chandelier. Une version qui avait débouché, en février, à des fouilles dans un cellier jouxtant l’ancienne propriété des Seznec, à Morlaix. En vain.
Ils font serment de ne rien dire
Guillaume Seznec, lui, arrive quelques heures plus tard. Il aurait fait jurer à ces quatre personnes de ne jamais révéler ce qui venait de se passer. Avec un ami, il entreprend ensuite d’aller enterrer le corps, car il souhaite « donner une sépulture décente » au défunt. Mais ils le font, loin de Morlaix, sans jamais révéler l’endroit. Se sont-ils rendus dans la propriété forestière de Pierre Quéméneur, Traou Nez, à Plourivo (dans les Côtes d’Armor) que l’élu souhaitait vendre et que souhaitait acquérir Guillaume Seznec, maître de scierie ?
Selon cette version, Guillaume Seznec qui n’aurait donc pas tué Pierre Quéméneur, aurait néanmoins établi de fausses promesses de vente de la propriété « pour lui permettre de ne pas perdre ses économies ». Pour obtenir Traou Nez, le maître de scierie aurait versé à l’élu un important dessous de table en or notamment. Ce que reconnaîtra Guillaume Seznec, lors d’une de ses dépositions, rappelle Bernez Rouz dans son livre « L’affaire Quéméneur-Seznec » : « J’ai versé 4040 dollars-or à M. Quéméneur… » Des dollars-or qu’on ne retrouvera jamais…
Joint par téléphone ce midi, Jean-Yves Seznec confirme ce récit et explique que, ce soir, il s’agira « d’un entretien plus complet » sur ce qui s’est passé ce dimanche 27 mai 1923. Quant à Denis Seznec, un autre petit-fils de Guillaume Seznec, qui défend depuis toujours l’innocence de son grand-père, il ne croit pas pour autant à cette mort accidentelle survenue à Morlaix.
Oui....
Il faut rendre à César ce qui appartient à César.
Et Pierrick Baudais de Ouest France a bien fait son boulot de journaliste.
Il m'a téléphoné, puis, il a joint Jean-Yves Seznec.
Il suivait mon blog déjà depuis quelques temps.
Et, puis, vous m'excuserez, entre être citée par Le Télégramme ou être citée par Ouest France,
mon choix est fait !
N'en déplaise aux mauvais coucheurs...
Ils ont été très émouvants les petits-fils Seznec sur France 2...
A chaud, les deux révélations que Gabriel m'avait promises :
SMS du Jeudi 3 mai à 22 h 11 :
(ils viennent juste d'être interviewés par Anne-Sophie Martin)
"Bonsoir Liliane... Je viens de lire votre dernier article sur votre blog ! Vous connaîtrez un détail supplémentaire très bientôt qui vous aidera, je pense."
Donc, les deux révélations :
1/ La tâche de sang sur les promesses de vente qui étaient devenues inutilisables...
Ce qui signifie que les promesses de vente étaient vraies et avaient vraiment existé.
Mais Guillaume Seznec ne pouvait pas les refaire car ses mains étaient très blessées. Et, de plus, il n'avait pas le matériel nécessaire (pas de machine à écrire, pas de tampons,etc...)
Alors QUI a confectionné ces foutues promesses de vente si ce n'est pas Seznec ?
Et QUI a caché la machine à écrire dans la scierie puisqu'elle n'était pas la propriété de Seznec ?
Eclaircissements à venir.
2/ Le serment des 4 personnes présentes : Guillaume, Marie-Jeanne, Angèle Labigou, la bonne, et Petit Guillaume,
oui, le serment a été fait devant un homme d'Eglise.
Un prêtre qui les fréquentait ?
Un évêque ?
A suivre demain pour la retranscription totale.
Pour les différences entre la version des petits fils et celle de Denis Langlois,
lire :
Les deux versions du témoignage de Petit Guillaume
Affaire Seznec. La fin d'un secret
Ce pourrait être l'épilogue d'une des plus retentissantes énigmes criminelles françaises. Des petits-enfants de Guillaume Seznec ont décidé de briser le silence, et de rendre public, dans Le ...
http://www.letelegramme.fr/bretagne/affaire-seznec-la-fin-d-un-secret-06-05-2018-11950310.php
VIDEO. Affaire Seznec : la fin du secret
Est-ce la fin de l'affaire Seznec, l'un des faits-divers les plus marquants du XXe siècle ? Gabriel et Jean-Yves Seznec, petits-fils de Guillaume Seznec, révèlent pour la première fois les ...
https://www.francetvinfo.fr/societe/justice/video-affaire-seznec-la-fin-du-secret_2739475.html