30 Mai 2023
Familles, je vous hais ! Foyers clos ; portes refermées ; possessions jalouses du bonheur.
André Gide
Marie-Jeanne, Marie, Albert, Petit Guillaume et Jeanne
Pour comprendre l'affaire Seznec : évitez la famille Seznec.
A commencer par Denis Seznec.
Même si on ne peut que louer sa grande pugnacité...
Ne jamais négliger son aveuglement.
Pour lui, son grand-père est un chevalier plus blanc que blanc.
Et peu lui importe de salir d'autres gens.
C'est tellement triste de penser qu'il nous a menti tout au long de son livre « Nous, les Seznec » en arrangeant les faits pour disculper son grand-père.
Les anciens aficionados de l’affaire Seznec le savent fort bien : C’est à cause de ses mensonges que j’ai démissionné de France-Justice en direct du forum de Marilyse Lebranchu le 22 janvier 2007.
Dès que j'ai compris son premier mensonge dénoncé par Catherine Clausse... J'ai envoyé ma démission à Denis Seznec et déchiré ma carte de France-Justice.
Lire sur ce blog :
Barthelemy Spor le mensonge déclencheur
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A suivre par les enfants de Petit Guillaume : Jean-Yves et Gabriel Seznec.
On a tous compris aujourd'hui - à part quelques illuminés - que Petit Guillaume, le fils aîné de Seznec, avait raconté un énorme mytho à son neveu Bernard Le Her.
Tout ça pour semer la discorde..
En racontant que c'était la grand-mère Seznec, Marie-Jeanne, qui avait occis le conseiller général Quémeneur pour sauver sa vertu menacée.
Mytho pour ralentir ainsi Jeanne et Denis Seznec dans leur demande de révision.
Dommage que ces deux petits-fils-là n'aient pas pu envisager un seul instant que leur père leur mentait.
Ah, les névroses familiales !
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Que faire et qui croire ?
Reprendre calmement les 3 livres qui ont fait date dans cette affaire Seznec : le Rouz, le Langlois et le Pierre.
Aller surfer sur des blogs comme celui de Marc du Ryez ou celui de SaintOp-Seznek..
Reprendre la presse de l'époque, surtout Ouest-Eclair et La Dépêche de Brest...
Revoir encore et toujours l'émission Cinq colonnes à la Une du 2 juin 1967.
Et surtout surtout garder toujours à l'esprit que le gars Seznec n’a eu de cesse de meugler :
« Montrez-moi le cadavre !!! »
C'est dire qu'il était absolument certain qu'on ne le retrouverait jamais.
Jamais.
Liliane Langellier