Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Affaire Seznec Investigation

Le blog de Liliane Langellier. Premier blog sur l'affaire Seznec. Plus de 900 articles.

Affaire Seznec : Guillaume de juillet 1906 à mai 1923...

Les affaires de famille, c'est toujours de sales histoires.
Marcel Pagnol ; La prière aux étoiles (1941)

Peu de temps avant mon mariage...

Ma mère a évoqué l'idée d'établir un contrat de mariage.

J'étais fille unique avec du bien en héritage.

Quand la question a été posée à ma belle-mère, ça a été une véritable crise de nerfs.

"Si elle t'aime, elle doit t'épouser sans ça..."

Elle m'en avait déjà fait tellement baver, la belle-doche, que j'ai menacé les miens d'un mariage entre quatre témoins. S'ils ne lâchaient pas l'affaire !

Mais je savais pourquoi ma petite mère demandait ça.

Ils avaient été les témoins impuissants de la ruine d'une de leurs amis, mandataire aux Halles de Paris, dont le gendre, joueur et buveur, avait claqué tous les biens...

Guillaume a donc épousé sa Marie-Jeanne le 18 juillet 1906.

Avec un contrat de mariage en bonne et due forme.

(Voir ci-dessous)

1/ Les années 1906/1914

Vous pouvez lire sur ce blog :

Les débuts professionnels de Guillaume

écrits d'après le Fonds de l'étude Raison du Cleuziou.

Au début de leur mariage, les nouveaux époux habitent chez les Marc.

Grainetiers à Plomodiern.

Guillaume s'essaie à la vente du matériel agricole...

"Fin janvier 1907 M. Seznec reçoit une quantité d’instruments agricoles et des écrémeuses de M. Quernec du Faou. Il avait reçu aussi à quelques jours d’intervalle des bicyclettes, il avait acheté aussi une vieille motocyclette et est alors pour y remiser ses motocyclettes et y installer une cuvette pour conserver des œufs au moyen de l’eau de chaux, qu’il m’a demandé à louer ma grange N° 2. Cette maison était divisée en 4 compartiments. Chaque compartiment était loué 50 F l’an. Aujourd’hui M. Seznec a loué 70 F chaque compartiment de la même maison."

Dans la nuit du 2 au 3 novembre 1908, éclate un incendie qui va ravager une grande partie de la grange allouée à Seznec et le blesser grièvement.

Leur petite fille Marie est née le 1er novembre 1908.

Effectivement, Guillaume n'a pas été dispensé d'effectuer des périodes d'exercices dans le 6ème régiment d'Infanterie Coloniale de Brest : du 21 août au 17 septembre 1908. Et du 21 octobre au 6 novembre 1908. C'est pendant cette seconde période qu'il va recevoir un télégramme lui annonçant que sa petite fille Marie est née le 1er novembre. Et qu'il va rentrer fissa à Plomodiern. Ne me demandez pas s'il a fait le trajet en vélo, en voiture ou en train, car je suis infoutue de vous le dire.

Après l'incendie...

C'est donc un long séjour à l'hôpital de Châteaulin pour Guillaume.

On peut lire ici que l'ami Guillaume (Joseph Marie pour la mairie) est réformé par la Commission Spéciale de Quimper le 6 août 1909. Cause : brûlures aux mains avec rétraction. Mais oui, souvenez-vous l'incendie du magasin de cycles de Plomodiern. Juste à la naissance de la petite Marie le 1er novembre 1908.

Après avoir habité chez les Marc, le couple Seznec va vivre à Kernéol, chez Marie Anne Colin.

Comme l'indique le recensement 1911.

 

Le 1er Mars 1911, naît Petit Guillaume à Plomodiern.

Le 8 novembre 1912, Jeanne Seznec, mère de Denis, naît à Saint-Segal pendant que le couple tenait une auberge à Port Launay.

Dans le Rieux-Nédelec, on peut lire en page 21 : "Seznec, en 1910, s'installa comme aubergiste. C'était à Port-Launay, le port de Châteaulin, sur le fleuve."

Guillaume a 34 ans.

Il est alors agent de commerce.

2/ La guerre 14 de Guillaume 

Le 31 octobre 1914, Albert naît à Trémillau.

Les Seznec se sont établis comme blanchisseur à Brest.

 

Guillaume est mobilisé en octobre 1914.

 

Chez Rieux-Nédelec, en page 21 : "En août 1914, Guillaume rejoignit son centre mobilisateur à Brest. Classé dans le service auxiliaire après Quémeneur, il se trouva du côté des "embusqués". Débrouillard, il sut se faire verser au dépôt des vivres de la marine à Landerneau ; une bonne planque, qui lui permettait de s'assurer de confortables avantages au travers de ses déplacements à Brest. Quelques mois plus tard, il achetait un fonds de blanchisserie à Saint-Pierre-Quilbignon."

Chez Denis Langlois, en bas de page 15 : "Tu as été mobilisé, mais en raison de tes blessures et de ta situation de famille, on t'a versé dans le service auxiliaire à Brest. Tu as commencé à travaillé à la poudrerie. Un jour, le colonel t'a convoqué dans son bureau :

- Dites-moi, Seznec, vous avez bien une blanchisserie ? Que diriez-vous de laver le linge de la garnison ? Au lieu de traîner à l'arsenal. Vous feriez votre service chez vous. Mais à une condition : vous ne blanchirez que l'armée."

Bernez Rouz nous écrit en page 53  : "Le 25 octobre 1914, il est mobilisé dans le service auxiliaire, au dépôt d'infanterie à Brest. Cela lui permet d'ouvrir une blanchisserie au lieu-dit Trémilliau en Saint-Pierre Quilbignon, commune périphérique de Brest. La blanchisserie où il habite travaille pour l'armée, plusieurs soldats sont d'ailleurs affectés à son service. Il en profite pour diversifier ses activités en vendant du beurre et du savon." 

Si les écritures administratives ne nous éclairent guère sur les trafics et les allers venues du gars Guillaume, on est au moins sûr d'un fait : il a toujours été administrativement basé à Brest du 25 octobre 1914 au 9 février 1919.

Oui, Guillaume a fait partie de ce qu'on appelle "les pépères de l'infanterie territoriale".

Enklask m'avait fait parvenir un historique du 87e RIT.

3/ Les années 1919/1923

Avec l'arrivée des Ricains, une véritable pluie de dollars s'est abattue sur Brest.

Guillaume en a bien profité pour sa blanchisserie, mais pas que...

Il va vite, très vite, commencé le trafic de voitures américaines.

 

Pour l'ambiance du camp de Pontanezen, ne manquez pas de lire le blog d'Azraelle 29.

On découvre, en octobre 2004, dans le reportage de Bernez Rouz :

"Deux fois par mois ces encarts publicitaires paraissaient dans la presse locale. Guillaume et Marie-Jeanne Seznec ont tenu une buanderie pendant la guerre et ont fait beaucoup d’argent en travaillant pour les armées françaises et américaines. Dès 1918, ils achètent une scierie à Morlaix et s’installent à « Traon-ar-Velin », dans une maison confortable. Seznec investit en outils industriels, et en bon commerçant, profite, comme tout le monde, des stocks américains. Pour faire tourner son usine, on le voit acheter un camion et une Cadillac.

Et Seznec cède au virus des affaires faciles. On le voit acheter et vendre des voitures comme le témoigne la facture au Garage Spor de Lambézellec.

 Seznec va plus loin. Le document que vous allez voir est inédit. En janvier 1920, les gendarmes à cheval de Locronan découvrent une voiture américaine de luxe cachée dans une grange de Plomodiern. Chez un cousin de Seznec. Les gendarmes sont intrigués parce qu’on vient juse de voler 200 voitures aux stocks américains dans la région nantaise. Une enquête est diligentée. Seznec est interrogé par le commissaire de police de Morlaix. Il explique, dans sa déposition, qu’il a acheté deux voitures américaines, une Cadillac limousine et une Dodge Torpedo, près du parc américain, avenue de la Bourdonnais, à Paris. Il a pris livraison des voitures à Nantes. Il les a revendues à un garagiste de Marseille pour le marché algérien.

C’est la preuve que Seznec, dès 1919, est en contact avec les grands trafiquants d’automobiles américaines en France."

Et chez Rouz en pages 46/47 :

"Seznec semble très au fait des filières d'acquisition et de revente de voitures américaines. Ainsi en janvier 1920, il abandonne une voiture américiane dans une ferme de Ploéven, à proximité de son village natal Plomodiern. Cette présence incongrue attire l'attention des gendarmes de Locronan alors en tournée de communes. N'oublions pas que nous sommes en février 1920, quelques jours après qu'a éclaté une série de scandales sur le trafic des stocks américains, notamment ces 200 voitures volées dans la région de Saint-Nazaire. Le propriétaire de la ferme où se trouve la voiture, Guillaume Le Breton, est le cousin de Guillaume Seznec. Il doit s'expliquer devant les gendarmes de Locronan qui font un rapport très précis : "Il y a trois semaines environ... mon cousin Seznec Guillaume, marchand de bois à Traon Vilin en Morlaix, est arrivé chez moi en automobile entre 23 heures et 24 heures. Il a prétendu revenir de Douarnenez et avoir eu une panne en cours de route. Craignant de ne pouvoir rejoindre Morlaix avec sa voiture, il m'a prié de la remiser dans sa ferme et m'a déclaré qu'il viendrait la chercher le mercredi suivant."

 

. "Le 1er mars 1920, le commissaire de police de Morlaix, Armand Bonin, se déplace à Traon-ar-Velin pour entendre les explications du maître de scierie : "La voiture automobile de provenance américaine que j'ai laissée chez mon cousin Le Breton à Ploéven, à une date que j'ignore, provient d'un lot de deux voitures achetées par moi à un garagiste, M. Randoin 11 rue du Pasquier à Annecy, Haute-Savoie. Au cours d'un voyage à Paris, j'ai passé avec ce commerçant le 29 novembre 1919, un marché par lequel il s'engageait à me livrer le 2 décembre 1919 à Nantes, pour la somme de 30.000 francs, deux voitures automobiles provenant des stocks américains.

"Le 2 décembre dernier, mon chauffeur et moi sommes allés prendre livraison à Nantes des deux automobiles. M. Randoin m'a délivré un reçu que je vous montrerai. En janvier dernier, j'ai vendu une voiture et je dus laisser l'autre chez mon cousin à Ploéven par suite d'une panne en rentrant de Douarnenez. Cette dernière voiture est vendue également et livrée à un sieur Bosson de Marseille. Je crois qu'il doit la livrer en Algérie." Le commissaire ajoute que les deux voitures sont de type Cadillac limousine et Dodge Torpédo. Il ajoute : "Le sieur Seznec est un grand brasseur d'affaires, doit avoir des dettes et ne paraît pas des plus solvables."

L'enquête se poursuit à Annecy où la police cherche vainementun garagiste nommé Randoin.

Le 8 avril, Seznec est de nouveau entendu au sujet de ses achats d'automobiles à Paris : "C'est le 29 novembre 1919, au Champ-de-Mars à Paris lors d'une exposition d'automobiles. J'ai fait la connaissance d'un individu paraissant 35 ans disant se nommer Randoin, garagiste rue du Pasquier à Annecy. Un jeune homme l'accompagnait. J'étais moi-même en compagnie de mon beau-frère M. Marc Pierre, mécanicien à Clichy et de deux de ses amis. Nous nous sommes rendus dans un café du Champ-de-Mars, boulevard Bourdonnais et c'est là que le contrat de vente de deux autos américaines a été passé entre M. Randoin et moi en présence de tous les convives."

Pugnaces, les enquêteurs, faute de mettre la main sur le garagiste fantôme interrogent le 15 avril Pierre Marc à Paris, celui-ci confirme la tractation et ajoute quelques détails: "M. Seznec s'est rendu à Paris pour faire des achats de pièces qui lui étaient nécessaires à la réparation d'un camion automobile. Nous sommes allés ensemble au Champ-de-Mars, au parc des ventes de stocks... Cet individu était en compagnie d'un autre qui bégayait. Ils ont parlé de voitures et l'individu dont il s'agit a proposé à mon beau-frère de lui en vendre."

Cette enquête qui s'est terminée par un non-lieu est fort intéressante pour jauger l'implication de Seznec dans le marché de revente des stocks américains."

Au début de l'année 1918, Guillaume Seznec achète la scierie de Traon ar Velin à un certain Castel.

 

Et il l'achète de façon pas vraiment claire.

Oui, l'achat de la scierie de Traon ar Velin, je l'ai découvert dans le dernier livre de Denis Langlois, " Pour en finir avec l'affaire Seznec" en pages 258/259 :

 "Dans son récit d'après-bagne, il décrit par le menu une opération qu'il a réalisée au début de l'année 1918 et à laquelle je n'ai pas prêté suffisamment d'attention. Son régiment d'affectation est transféré de Brest à Morlaix. Seznec blanchit le linge d'une partie des soldats français et américains cantonnés à Brest. Ce transfert est pour lui et pour sa femme, qui est la directrice de la blanchisserie, un sale coup. Le capitaine Bousquet lui suggère une solution : trouver à Morlaix un local et y installer une partie de ses machines.

A Morlaix, à l'entrée de la ville, le long de la rivière Le Queffleuth, Seznec repère une scierie fermée depuis le début de la guerre : Traon-ar-Velin. Le problème, c'est que le propriétaire, Jean-François Castel, ne veut pas vendre. Il attend le retour de ses deux fils mobilisés sur le front pour rouvrir sa scierie. Il veut bien louer jusque là, mais avec l'interdiction de toucher à l'agencement des lieux et certainement pas de les transformer en blanchisserie.

Avec la complicité du capitaine, Seznec met au point un stratégème assez sordide. Il raconte :

"Le capitaine s'installe au Grand Café de Morlaix à 3 heures avec le commandant du camp. Je viens et je m'assois avec le propriétaire de la scierie le plus près possible de leur table. Dès qu'il me voit le capitaine me demande si j'ai trouvé quelque chose. Je réponds : "Oui, j'ai trouvé une scierie fermée mais le prix du loyer et les conditions sont inacceptables." Alors, le commandant dit : "Mais si c'est fermé, nous allons la réquisitionner !" Comme le propriétaire ne veut pas entendre parler de réquisition, il change d'avis. Il me dit : "Si vous voulez l'acheter, je veux bien vous la vendre." Le prix me convient. Je l'achète doncà 40 000 francs, soit 10 000 en sous-main et 30 000 déclarés au notaire."

S'emparer ainsi de la scierie d'un père de soldats combattant au front, et en plus ne pas la payer totalement - en 1923, il doit encore à Castel 18 000 francs - ne peut qu'être mal vu par les habitants de Morlaix. Pas étonnant que les voisins de Seznec le détestent et témoignent contre lui."

Dette Castel :

 

Bernez Rouz écrit encore en bas de page 49 :

"Le 4 juin 1922, il assure toujours à la compagnie L'Union, un camion Liberty, marque USA Type B 1 400 portant le n° 2968 pour une somme de 15 000 francs, et une voiture automobile Torpédo 7 places, marque Briscoe pour 12 000 francs."

Et puis...

Et puis grosse Katastrophe !!!!!!

Les parcs de revente de stocks américains ferment les uns après les autres.

Les Boys de Pontanézen rentrent chez eux en novembre 1919.

Paris, le Champs de Mars ferme le 23 février 1922.

Celui de Romorantin aussi.

Plus de trafic, plus de pépètes.

Et c'est la dèche totale. Et absolue.

Les années 1922/1923 sont terribles pour les Seznec.

L'année 1923 leur réservera le pire !

Liliane Langellier

 

Plomodiern. Place et rue de Châteaulin.

Plomodiern. Place et rue de Châteaulin.

Chez les Marc à Plomodiern.

Chez les Marc à Plomodiern.

Mariage Guillaume /Marie-Jeanne.

Mariage Guillaume /Marie-Jeanne.

Contrat de mariage SEZNEC / MARC (1).

Contrat de mariage SEZNEC / MARC (1).

Contrat de mariage SEZNEC / MARC(2)

Contrat de mariage SEZNEC / MARC(2)

Contrat de mariage SEZNEC / MARC (3).

Contrat de mariage SEZNEC / MARC (3).

Naissance de Marie Seznec.

Naissance de Marie Seznec.

Naissance de Petit Guillaume.

Naissance de Petit Guillaume.

Plomodiern Incendie 1908.

Plomodiern Incendie 1908.

Plomodiern. Incendie 1908.

Plomodiern. Incendie 1908.

Plomodiern. Incendie 1908.

Plomodiern. Incendie 1908.

Traon Ar Velin. Propriétaires successifs.

Traon Ar Velin. Propriétaires successifs.

Vente de Traon ar Velin in La Lanterne du 19 juillet 1923.

Vente de Traon ar Velin in La Lanterne du 19 juillet 1923.

Inventaire Liquidation Seznec 1.

Inventaire Liquidation Seznec 1.

Inventaire Liquidation Seznec 2.

Inventaire Liquidation Seznec 2.

Inventaire Liquidation Seznec 3.

Inventaire Liquidation Seznec 3.

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
M
Bertrand Vilain est persuadé que Pierre Quéméner a été tué par Guillaume Seznec près de Houdan. Puis il est persuadé que Seznec n'a pas tué Quéméner, mais que celui-ci a fait une mauvaise chute à Morlaix et a été enterré dans le cellier. Puis, comme il ne trouve pas le squelette de Quéméner mais seulement des os de veau dans ce soi-disant cellier, il est persuadé que les Seznec ont brûlé le cadavre de Quéméner dans leur grande chaudière et ont enterré les restes de la crémation avec des os de veau, une pipe et des bouts de ferraille dans ce fameux cellier (dont les travaux, apparemment antérieurs aux plans des lieux du temps de l'affaire, ne sont pourtant pas datés, et même Petit-Guillaume est très imprécis sur la date de ces travaux, s'il s'agit bien des mêmes travaux, ce qui n'est pas certain). Cette même personne se permet de rire des théories des autres, se moque des recherches sérieuses et des recoupements qui sont effectués, se vante d'être dans l'action quand les autres ne sont que des bloguineurs du dimanche (cette action consistant à faire n'importe quoi, n'importe où et à ameuter la presse à cette occasion), se croit supérieur à des personnes qui se sont pourtant donné la peine d'apprendre la langue française avant de s'exprimer, contrairement à certains.<br /> <br /> Enfin, pendant qu'il est occupé à retrouver les dents de Quéméner dans sa pile de mâchefer, continuons à essayer d'y voir clair dans cette affaire... Ou au moins fournissons à d'autres les éléments nécessaires à leur propre réflexion. Soyez grandement remerciée pour tous vos efforts dans ce sens, Liliane.
Répondre
L
"ameuter la presse à cette occasion"...<br /> Oui, Marc, son pote Hervé Chambonnière du Télégramme, qui n'a pas dû recevoir que des compliments de son rédacteur-en-chef quand il s'est couvert de ridicule lors des fouilles morlaisiennes....<br /> Fouilles qu'il balançait à la seconde seconde sur Twitter.<br /> L'un de mes confrères, journaliste d'investigation, dans un grand media, a eu maille à partir avec ce journaliste de la PQR bretonne..<br /> Pas mieux que Vilain.<br /> "inflating", je vous dis...